En deux décennies, le Café Atlantico est devenu le bar de quartier par excellence, et le rendez-vous des petits et des grands qui souhaitent passer un agréable moment.
Entre les soirées "beaujolais" ou "huîtres", les blind tests dans la ville, les pauses sur la terrasse accompagnées de quelques bières, les petits déjeuners de la semaine, les brunchs du week-end...les occasions ne manquent pas pour s'y retrouver.
Entre les soirées "beaujolais" ou "huîtres", les blind tests dans la ville, les pauses sur la terrasse accompagnées de quelques bières, les petits déjeuners de la semaine, les brunchs du week-end...les occasions ne manquent pas pour s'y retrouver.

Le Poiscaille est l'un des Brunchs proposé par le Café Atlantico
Du petit-déjeuner à la fin de soirée, la kitchenette de l'Atlantico comble petites et grandes faims, à tout moment de la journée.
Au menu, deux plats de la semaine (dont un végétarien), des burgers, des salades, des planchettes et, pour les becs sucrés, quelques douceurs dont le fameux cookie du capitaine.
Parmi les propositions, citons : la salade cajun au poulet mariné, la salade de chèvre frit, la bavette à l'échalote et frites, ou encore le cheesecake au spéculoos.
Au menu, deux plats de la semaine (dont un végétarien), des burgers, des salades, des planchettes et, pour les becs sucrés, quelques douceurs dont le fameux cookie du capitaine.
Parmi les propositions, citons : la salade cajun au poulet mariné, la salade de chèvre frit, la bavette à l'échalote et frites, ou encore le cheesecake au spéculoos.
D'abord utilisé pour le transport du cacao d'Afrique vers la Hollande, cette copie d'un vaporetto italien est ensuite transformé en théâtre de marionnettes.
En 1999, il devient le Café Atlantico, du nom de l'album de Cesária Évora offert au créateur du Café.
En 20 ans d'existence, l'établissement a aussi vu passer quelques personnalités et vécu quelques histoires surprenantes. C'est en effet sur ses planches qu'en 2009 Baudouin Pfersdorff écrit son livre "En attendant Obama", illustré par Tomi Ungere lui-même. Puis, Emile Jung y cuisinera pour un mariage, dans ce qui est probablement la plus petite cuisine de Strasbourg. Et Francis Lalanne fera du bateau son quartier général lors de sa campagne électorale.
En 1999, il devient le Café Atlantico, du nom de l'album de Cesária Évora offert au créateur du Café.
En 20 ans d'existence, l'établissement a aussi vu passer quelques personnalités et vécu quelques histoires surprenantes. C'est en effet sur ses planches qu'en 2009 Baudouin Pfersdorff écrit son livre "En attendant Obama", illustré par Tomi Ungere lui-même. Puis, Emile Jung y cuisinera pour un mariage, dans ce qui est probablement la plus petite cuisine de Strasbourg. Et Francis Lalanne fera du bateau son quartier général lors de sa campagne électorale.
Photos : page Facebook du Café Atlantico
Café Atlantico
9a Quai des Pêcheurs
67000 Strasbourg
03 88 35 77 81
www.cafe-atlantico.net
Café Atlantico
9a Quai des Pêcheurs
67000 Strasbourg
03 88 35 77 81
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